C’est l’un des nombreux lavoirs qui bordent la Sèvre Niortaise. C’est au 19ème siècle que les lavoirs sont construits en grande quantité, dans un souci de santé publique. La propreté des vêtements fait partie des mesures d’hygiène nécessaires pour endiguer les maladies comme le choléra, la variole et la typhoïde.
En plus des lavoirs publics, construits par les communes, certains habitants profitaient de leur terrain sur la rive de la Sèvre pour se construire de petits lavoirs privés, au bout de leur jardin, où les femmes de la maison pouvaient laver leur linge en toute tranquillité et dans l’intimité. Car les lavoirs publics, surnommés « moulins à paroles » ou « hôtel des bavardes »,  étaient les lieux de rencontre entre les femmes, pour le meilleur comme pour le pire. Ils pouvaient résonner des chants et des rires, mais aussi de médisances, de disputes et de cris. La concurrence était rude pour obtenir la meilleure place, où l’eau n’est pas encore souillée par le linge des autres femmes.

C’est l’un des nombreux lavoirs qui bordent la Sèvre Niortaise. C’est au 19ème siècle que les lavoirs sont construits en grande quantité, dans un souci de santé publique. La propreté des vêtements fait partie des mesures d’hygiène nécessaires pour endiguer les maladies comme le choléra, la variole et la typhoïde.
En plus des lavoirs publics, construits par les communes, certains habitants profitaient de leur terrain sur la rive de la Sèvre pour se construire de petits lavoirs privés, au bout de leur jardin, où les femmes de la maison pouvaient laver leur linge en toute tranquillité et dans l’intimité. Car les lavoirs publics, surnommés « moulins à paroles » ou « hôtel des bavardes »,  étaient les lieux de rencontre entre les femmes, pour le meilleur comme pour le pire. Ils pouvaient résonner des chants et des rires, mais aussi de médisances, de disputes et de cris. La concurrence était rude pour obtenir la meilleure place, où l’eau n’est pas encore souillée par le linge des autres femmes.

C’est l’un des nombreux lavoirs qui bordent la Sèvre Niortaise. C’est au 19ème siècle que les lavoirs sont construits en grande quantité, dans un souci de santé publique. La propreté des vêtements fait partie des mesures d’hygiène nécessaires pour endiguer les maladies comme le choléra, la variole et la typhoïde.
En plus des lavoirs publics, construits par les communes, certains habitants profitaient de leur terrain sur la rive de la Sèvre pour se construire de petits lavoirs privés, au bout de leur jardin, où les femmes de la maison pouvaient laver leur linge en toute tranquillité et dans l’intimité. Car les lavoirs publics, surnommés « moulins à paroles » ou « hôtel des bavardes »,  étaient les lieux de rencontre entre les femmes, pour le meilleur comme pour le pire. Ils pouvaient résonner des chants et des rires, mais aussi de médisances, de disputes et de cris. La concurrence était rude pour obtenir la meilleure place, où l’eau n’est pas encore souillée par le linge des autres femmes.

Il s’agit d’un théâtre de verdure, créé selon le souhait du docteur Pierre-Urbain Corneille-Saint-Marc (1862-1945), passionné de dramaturgie qui serait le descendant du célèbre auteur du Cid, Pierre Corneille (+1684). Installé à La Mothe Saint-Héray après des études de médecine à Bordeaux, il convainc le maire de créer ce théâtre en plein air. Il est aménagé devant une petite grotte utilisée comme fond de scène, sur l’ancien parc du château acquis par la commune en 1890. Pierre-Urbain Corneille-Saint-Marc fonde la troupe du Théâtre Populaire Poitevin, qui jouera ici 24 pièces entre 1896 et 1938. Les représentations animent alors les fêtes des rosières, grand événement de l’année sur la commune.

Il s’agit d’un théâtre de verdure, créé selon le souhait du docteur Pierre-Urbain Corneille-Saint-Marc (1862-1945), passionné de dramaturgie qui serait le descendant du célèbre auteur du Cid, Pierre Corneille (+1684). Installé à La Mothe Saint-Héray après des études de médecine à Bordeaux, il convainc le maire de créer ce théâtre en plein air. Il est aménagé devant une petite grotte utilisée comme fond de scène, sur l’ancien parc du château acquis par la commune en 1890. Pierre-Urbain Corneille-Saint-Marc fonde la troupe du Théâtre Populaire Poitevin, qui jouera ici 24 pièces entre 1896 et 1938. Les représentations animent alors les fêtes des rosières, grand événement de l’année sur la commune.

Il s’agit d’un théâtre de verdure, créé selon le souhait du docteur Pierre-Urbain Corneille-Saint-Marc (1862-1945), passionné de dramaturgie qui serait le descendant du célèbre auteur du Cid, Pierre Corneille (+1684). Installé à La Mothe Saint-Héray après des études de médecine à Bordeaux, il convainc le maire de créer ce théâtre en plein air. Il est aménagé devant une petite grotte utilisée comme fond de scène, sur l’ancien parc du château acquis par la commune en 1890. Pierre-Urbain Corneille-Saint-Marc fonde la troupe du Théâtre Populaire Poitevin, qui jouera ici 24 pièces entre 1896 et 1938. Les représentations animent alors les fêtes des rosières, grand événement de l’année sur la commune.

Ce pigeonnier contient 780 nids, ou boulins. Il date du 17ème siècle et il dépendait du couvent de bénédictins situé à une centaine de mètres. Les grands pigeonniers de ce type étaient nombreux sur le territoire Mellois avant la Révolution. Les pigeons fournissaient non seulement un apport de viande à moindre coût mais on récoltait également leur fiente pour fertiliser les jardins. Mais les pigeons étaient également considérés comme des nuisibles qui mangeaient le grain dans les champs et polluaient les rues des villes par leurs déjections. Les querelles à leur propos étaient nombreuses entre propriétaires des pigeonniers et voisins incommodés. Aussi, leur élevage était très règlementé, tout comme le permis de les tuer.

Les pigeonniers ou colombiers sont de forme et de taille très différente mais tous sont munis de lucarnes pour favoriser l’aération et la luminosité et préserver la santé des volatiles. C’est aussi par ces lucarnes qu’ils prenaient leur envol. Le bandeau en saillie au centre du pigeonnier, appelé larmier, servait à empêcher les serpents et rongeurs d’accéder aux lucarnes.

Ce pigeonnier contient 780 nids, ou boulins. Il date du 17ème siècle et il dépendait du couvent de bénédictins situé à une centaine de mètres. Les grands pigeonniers de ce type étaient nombreux sur le territoire Mellois avant la Révolution. Les pigeons fournissaient non seulement un apport de viande à moindre coût mais on récoltait également leur fiente pour fertiliser les jardins. Mais les pigeons étaient également considérés comme des nuisibles qui mangeaient le grain dans les champs et polluaient les rues des villes par leurs déjections. Les querelles à leur propos étaient nombreuses entre propriétaires des pigeonniers et voisins incommodés. Aussi, leur élevage était très règlementé, tout comme le permis de les tuer.

Les pigeonniers ou colombiers sont de forme et de taille très différente mais tous sont munis de lucarnes pour favoriser l’aération et la luminosité et préserver la santé des volatiles. C’est aussi par ces lucarnes qu’ils prenaient leur envol. Le bandeau en saillie au centre du pigeonnier, appelé larmier, servait à empêcher les serpents et rongeurs d’accéder aux lucarnes.

Ce pigeonnier contient 780 nids, ou boulins. Il date du 17ème siècle et il dépendait du couvent de bénédictins situé à une centaine de mètres. Les grands pigeonniers de ce type étaient nombreux sur le territoire Mellois avant la Révolution. Les pigeons fournissaient non seulement un apport de viande à moindre coût mais on récoltait également leur fiente pour fertiliser les jardins. Mais les pigeons étaient également considérés comme des nuisibles qui mangeaient le grain dans les champs et polluaient les rues des villes par leurs déjections. Les querelles à leur propos étaient nombreuses entre propriétaires des pigeonniers et voisins incommodés. Aussi, leur élevage était très règlementé, tout comme le permis de les tuer.

Les pigeonniers ou colombiers sont de forme et de taille très différente mais tous sont munis de lucarnes pour favoriser l’aération et la luminosité et préserver la santé des volatiles. C’est aussi par ces lucarnes qu’ils prenaient leur envol. Le bandeau en saillie au centre du pigeonnier, appelé larmier, servait à empêcher les serpents et rongeurs d’accéder aux lucarnes.

L’étymologie de « fouace » provient du latin « focacius », qui signifie « cuit sous la cendre ». Le terme s’est diffusé un peu partout sous différentes formes pour désigner les différentes variantes de pain brioché, comme la focaccia en Italie ou la fougasse en Provence.

La fouace est faite avec la partie la plus fine et la plus belle de la farine, appelée « fleur de farine ». Bien qu’elle ressemble à un pain, elle relève du domaine de la pâtisserie et non de la boulangerie. Dans les environs de La Mothe-Saint-Héray, et particulièrement à Bagnault, une farine de très grande qualité appelée « minot » était produite et utilisée depuis le Moyen Age pour confectionner une fouace locale qui a acquis une grande renommée, notamment auprès des pèlerins de Saint-Jacques de Compostelle.

Les artisans fouaciers autrefois nombreux ont aujourd’hui disparu mais la tradition demeure chez quelques pâtissiers comme celui devant la boutique duquel vous vous trouvez, qui est le dépositaire de la recette originale de la Fouace de Rabelais.

L’étymologie de « fouace » provient du latin « focacius », qui signifie « cuit sous la cendre ». Le terme s’est diffusé un peu partout sous différentes formes pour désigner les différentes variantes de pain brioché, comme la focaccia en Italie ou la fougasse en Provence.

La fouace est faite avec la partie la plus fine et la plus belle de la farine, appelée « fleur de farine ». Bien qu’elle ressemble à un pain, elle relève du domaine de la pâtisserie et non de la boulangerie. Dans les environs de La Mothe-Saint-Héray, et particulièrement à Bagnault, une farine de très grande qualité appelée « minot » était produite et utilisée depuis le Moyen Age pour confectionner une fouace locale qui a acquis une grande renommée, notamment auprès des pèlerins de Saint-Jacques de Compostelle.

Les artisans fouaciers autrefois nombreux ont aujourd’hui disparu mais la tradition demeure chez quelques pâtissiers comme celui devant la boutique duquel vous vous trouvez, qui est le dépositaire de la recette originale de la Fouace de Rabelais.

L’étymologie de « fouace » provient du latin « focacius », qui signifie « cuit sous la cendre ». Le terme s’est diffusé un peu partout sous différentes formes pour désigner les différentes variantes de pain brioché, comme la focaccia en Italie ou la fougasse en Provence.

La fouace est faite avec la partie la plus fine et la plus belle de la farine, appelée « fleur de farine ». Bien qu’elle ressemble à un pain, elle relève du domaine de la pâtisserie et non de la boulangerie. Dans les environs de La Mothe-Saint-Héray, et particulièrement à Bagnault, une farine de très grande qualité appelée « minot » était produite et utilisée depuis le Moyen Age pour confectionner une fouace locale qui a acquis une grande renommée, notamment auprès des pèlerins de Saint-Jacques de Compostelle.

Les artisans fouaciers autrefois nombreux ont aujourd’hui disparu mais la tradition demeure chez quelques pâtissiers comme celui devant la boutique duquel vous vous trouvez, qui est le dépositaire de la recette originale de la Fouace de Rabelais.

Jacques Jallet est un acteur de la Révolution française. Elu député du clergé du Poitou, il répond à la convocation de Louis XVI qui rassemble les Etats généraux à Versailles, en 1789. Dans cette assemblée des trois ordres représentant l’ensemble des sujets du royaume (le clergé, la noblesse et les tiers-état), il défend le bas-clergé, avant de rejoindre le tiers-état, c’est-à-dire la population qui n’est ni le clergé, ni la noblesse. Il vote en faveur de la transmission des biens de l’Eglise à l’Etat.
Jacques Jallet est né à La Mothe-Saint-Héray en 1732. On le destine rapidement à la prêtrise. Il choisit de faire des études de droit à Poitiers mais une aventure sentimentale met fin à sa carrière d’avocat. Il est finalement ordonné prêtre en 1757. La Révolution le portera définitivement vers le militantisme politique. Il milite contre la peine de mort et pour le mariage des prêtres. Il meurt en 1791 d’une crise d’apoplexie.

L’abbé Jallet a été représenté par le grand peintre Jacques-Louis David dans l’esquisse du tableau Le Serment du Jeu de Paume, 20 juin 1789, dont l’ambitieuse toile finale est restée inachevée en raison du contexte de la Révolution.
Un buste immortalise également l’abbé Jallet à La Mothe Saint Héray. Il est situé à côté de l’Orangerie, sur la place où se trouvait autrefois le château.

Jacques Jallet est un acteur de la Révolution française. Elu député du clergé du Poitou, il répond à la convocation de Louis XVI qui rassemble les Etats généraux à Versailles, en 1789. Dans cette assemblée des trois ordres représentant l’ensemble des sujets du royaume (le clergé, la noblesse et les tiers-état), il défend le bas-clergé, avant de rejoindre le tiers-état, c’est-à-dire la population qui n’est ni le clergé, ni la noblesse. Il vote en faveur de la transmission des biens de l’Eglise à l’Etat.

Jacques Jallet est né à La Mothe-Saint-Héray en 1732. On le destine rapidement à la prêtrise. Il choisit de faire des études de droit à Poitiers mais une aventure sentimentale met fin à sa carrière d’avocat. Il est finalement ordonné prêtre en 1757. La Révolution le portera définitivement vers le militantisme politique. Il milite contre la peine de mort et pour le mariage des prêtres. Il meurt en 1791 d’une crise d’apoplexie.

L’abbé Jallet a été représenté par le grand peintre Jacques-Louis David dans l’esquisse du tableau Le Serment du Jeu de Paume, 20 juin 1789, dont l’ambitieuse toile finale est restée inachevée en raison du contexte de la Révolution.

Un buste immortalise également l’abbé Jallet à La Mothe Saint Héray. Il est situé à côté de l’Orangerie, sur la place où se trouvait autrefois le château.

Jacques Jallet est un acteur de la Révolution française. Elu député du clergé du Poitou, il répond à la convocation de Louis XVI qui rassemble les Etats généraux à Versailles, en 1789. Dans cette assemblée des trois ordres représentant l’ensemble des sujets du royaume (le clergé, la noblesse et les tiers-état), il défend le bas-clergé, avant de rejoindre le tiers-état, c’est-à-dire la population qui n’est ni le clergé, ni la noblesse. Il vote en faveur de la transmission des biens de l’Eglise à l’Etat.

Jacques Jallet est né à La Mothe-Saint-Héray en 1732. On le destine rapidement à la prêtrise. Il choisit de faire des études de droit à Poitiers mais une aventure sentimentale met fin à sa carrière d’avocat. Il est finalement ordonné prêtre en 1757. La Révolution le portera définitivement vers le militantisme politique. Il milite contre la peine de mort et pour le mariage des prêtres. Il meurt en 1791 d’une crise d’apoplexie.

L’abbé Jallet a été représenté par le grand peintre Jacques-Louis David dans l’esquisse du tableau Le Serment du Jeu de Paume, 20 juin 1789, dont l’ambitieuse toile finale est restée inachevée en raison du contexte de la Révolution.

Un buste immortalise également l’abbé Jallet à La Mothe Saint Héray. Il est situé à côté de l’Orangerie, sur la place où se trouvait autrefois le château.