Découvrez le patrimoine de Montignac-sur-Vézère. Ce village du Périgord Noir, qui s’inscrit dans le paysage calcaire de la Vallée de la Vézère, est bâti de part et d’autre de la rivière, en contrebas du château, face à la colline de la célèbre grotte de Lascaux.
Cette séquence vidéo vous permet de situer Montignac dans son contexte géographique et paysager, la Vallée de la Vézère, constituée par l’érosion des plateaux calcaires. Elle aborde également l’interaction de l’Homme avec cet environnement.
Dans cette interview, Geneviève Pinçon, Directrice du Centre national de la préhistoire, évoque l’exceptionnelle richesse des sites préhistoriques et grottes ornées de la Vallée de la Vézère, inscrits sur la liste du Patrimoine Mondial de l’UNESCO.
Attardez-vous quelques instants, grâce à cet audioguide, sur cet hôtel particulier du 18ème siècle, inscrit à l’inventaire des Monuments Historiques.
Vous êtes devant une stèle dédiée à Joseph Joubert (1754-1824), moraliste et essayiste français originaire de Montignac.
Laquelle de ces citations n’est pas de lui ?
Vous êtes devant une stèle dédiée à Joseph Joubert (1754-1824), moraliste et essayiste français originaire de Montignac.
Laquelle de ces citations n’est pas de lui ?
«Science sans conscience n’est que ruine de l’âme» est une citation de Rabelais, extrait de Pantagruel. Les deux autres citations sont bien de Joseph Joubert.
Né à Montignac en 1754, il est parti à 14 ans à Toulouse, où il a fait ses études puis enseigné jusqu’en 1776. De retour à Montignac pendant deux ans, il se rend ensuite à Paris où il fréquente Chateaubriand, D’Alembert et Diderot.
Il est brièvement président du Tribunal de conciliation de Montignac en 1792.
De son vivant, Joubert n’a jamais rien publié mais il a écrit de nombreuses lettres, notes et carnets reflétant ses réflexions notamment sur la nature de l’Homme, l’enseignement et la littérature.
À sa mort, en 1824, sa veuve confie des extraits sous le titre Recueil des pensées de M. Joubert. Joseph Joubert repose à Paris, au cimetière de Montmartre.
«Science sans conscience n’est que ruine de l’âme» est une citation de Rabelais, extrait de Pantagruel. Les deux autres citations sont bien de Joseph Joubert.
Né à Montignac en 1754, il est parti à 14 ans à Toulouse, où il a fait ses études puis enseigné jusqu’en 1776. De retour à Montignac pendant deux ans, il se rend ensuite à Paris où il fréquente Chateaubriand, D’Alembert et Diderot.
Il est brièvement président du Tribunal de conciliation de Montignac en 1792.
De son vivant, Joubert n’a jamais rien publié mais il a écrit de nombreuses lettres, notes et carnets reflétant ses réflexions notamment sur la nature de l’Homme, l’enseignement et la littérature.
À sa mort, en 1824, sa veuve confie des extraits sous le titre Recueil des pensées de M. Joubert. Joseph Joubert repose à Paris, au cimetière de Montmartre.
«Science sans conscience n’est que ruine de l’âme» est une citation de Rabelais, extrait de Pantagruel. Les deux autres citations sont bien de Joseph Joubert.
Né à Montignac en 1754, il est parti à 14 ans à Toulouse, où il a fait ses études puis enseigné jusqu’en 1776. De retour à Montignac pendant deux ans, il se rend ensuite à Paris où il fréquente Chateaubriand, D’Alembert et Diderot.
Il est brièvement président du Tribunal de conciliation de Montignac en 1792.
De son vivant, Joubert n’a jamais rien publié mais il a écrit de nombreuses lettres, notes et carnets reflétant ses réflexions notamment sur la nature de l’Homme, l’enseignement et la littérature.
À sa mort, en 1824, sa veuve confie des extraits sous le titre Recueil des pensées de M. Joubert. Joseph Joubert repose à Paris, au cimetière de Montmartre.
Vous découvrez ici l’origine médiévale du château de Montignac et son histoire mouvementée pendant la guerre de Cent ans, jusqu’à ce qu’il soit transmis à la famille d’Albret au 15ème siècle.
Reprenons l’histoire du château là où nous l’avions laissée. C’est en vidéo que vous pourrez découvrir les différentes transformations qui lui ont donné son aspect actuel, des aménagements liés aux guerres de Religion aux ajouts plus récents.
A la sortie nord-est du bourg de Montignac se situent les vestiges, aujourd’hui enfouis, d’une dynamique agglomération gallo-romaine. Ce film vous en explique l’ampleur, en vous montrant des objets de fouilles et des restitutions en images de synthèse.
Cette rue portait le nom de l’écrivain Eugène Le Roy. Savez-vous quel genre de romans il écrivait ?
Cette rue portait le nom de l’écrivain Eugène Le Roy. Savez-vous quel genre de romans il écrivait ?
Les romans d’Eugène Le Roy parlent du terroir. Ils montrent la vie quotidienne des gens ordinaires, en décrivant avec réalisme les rites, les coutumes et les paysages du Périgord. Né à Hautefort le 29 novembre 1836 et mort à Montignac le 4 mai 1907, il était libre-penseur et franc-maçon. Il a débuté sa carrière comme soldat des chasseurs à cheval, puis aide percepteur à Périgueux, et l’a finie en tant que percepteur à Montignac. Issu d’une famille modeste, ses souvenirs d’enfance marquent ses écrits où les enfants abandonnés ont une place prédominante. Il aura un vif succès avec la publication de Jacquou le Croquant en 1899 qui reprend l’histoire d’un jeune paysan orphelin qui se révolte contre le régime.
Vous pouvez admirer Place Léo Magne, le buste en bronze d’Eugène Le Roy réalisé par le sculpteur Gabriel Forestier en 1927.
Les romans d’Eugène Le Roy parlent du terroir. Ils montrent la vie quotidienne des gens ordinaires, en décrivant avec réalisme les rites, les coutumes et les paysages du Périgord. Né à Hautefort le 29 novembre 1836 et mort à Montignac le 4 mai 1907, il était libre-penseur et franc-maçon. Il a débuté sa carrière comme soldat des chasseurs à cheval, puis aide percepteur à Périgueux, et l’a finie en tant que percepteur à Montignac. Issu d’une famille modeste, ses souvenirs d’enfance marquent ses écrits où les enfants abandonnés ont une place prédominante. Il aura un vif succès avec la publication de Jacquou le Croquant en 1899 qui reprend l’histoire d’un jeune paysan orphelin qui se révolte contre le régime.
Vous pouvez admirer Place Léo Magne, le buste en bronze d’Eugène Le Roy réalisé par le sculpteur Gabriel Forestier en 1927.
Les romans d’Eugène Le Roy parlent du terroir. Ils montrent la vie quotidienne des gens ordinaires, en décrivant avec réalisme les rites, les coutumes et les paysages du Périgord. Né à Hautefort le 29 novembre 1836 et mort à Montignac le 4 mai 1907, il était libre-penseur et franc-maçon. Il a débuté sa carrière comme soldat des chasseurs à cheval, puis aide percepteur à Périgueux, et l’a finie en tant que percepteur à Montignac. Issu d’une famille modeste, ses souvenirs d’enfance marquent ses écrits où les enfants abandonnés ont une place prédominante. Il aura un vif succès avec la publication de Jacquou le Croquant en 1899 qui reprend l’histoire d’un jeune paysan orphelin qui se révolte contre le régime.
Vous pouvez admirer Place Léo Magne, le buste en bronze d’Eugène Le Roy réalisé par le sculpteur Gabriel Forestier en 1927.
Pour comprendre le bâti de Montignac, et plus largement de toute la vallée de la Vézère, cette vidéo s’intéresse aux différents matériaux utilisés ici pour la maçonnerie et la couverture des constructions.
Découvrez à travers cette vidéo la structure du bourg médiéval fortifié de Montignac, placé sous la protection du château, et comment son extension à l’extérieur de l’enceinte a constitué la base de la ville actuelle, sur les deux rives de la Vézère.
Montignac s’est très tôt étendu sur les deux rives de la Vézère grâce à son pont médiéval. Après sa destruction, il faut attendre presque 200 ans avant que soit bâti, au 18ème siècle, le pont actuel, capable de résister aux crues violentes de la rivière. C’est cette histoire qui est retracée dans cette séquence en images.
Cette maison est à tort appelée « Maison forte d’Albret », en référence à l’illustre famille qui fut propriétaire de la Châtellenie de Montignac aux 15ème et 16ème siècles. Savez-vous de quel roi de France Jeanne d’Albret fut la mère ?
Cette maison est à tort appelée « Maison forte d’Albret », en référence à l’illustre famille qui fut propriétaire de la Châtellenie de Montignac aux 15ème et 16ème siècles. Savez-vous de quel roi de France Jeanne d’Albret fut la mère ?
Jeanne d’Albret, fille du roi de Navarre Henri II d’Albret et épouse d’Antoine de Bourbon, a donné naissance au futur roi de France Henri IV le 13 décembre 1553 à Pau.
La « Maison forte d’Albret » ne semble cependant pas avoir de lien avec la famille d’Albret. L’étude de sa charpente a permis de la dater de la fin du 15ème siècle (entre 1476 et 1490). Dans le mur donnant sur la rue, deux arcades d’échoppes aujourd’hui murées témoignent de la fonction commerciale du rez-de-chaussée du bâtiment, tandis que les deux étages étaient dédiés à l’habitation. En effet, la rue de la Pègerie était autrefois la rue commerçante de la ville, dans l’axe du pont médiéval. Elle rassemblait les marchands et les notables de Montignac. La plupart des maisons de cette rue datent du 14ème siècle.
Jeanne d’Albret, fille du roi de Navarre Henri II d’Albret et épouse d’Antoine de Bourbon, a donné naissance au futur roi de France Henri IV le 13 décembre 1553 à Pau.
La « Maison forte d’Albret » ne semble cependant pas avoir de lien avec la famille d’Albret. L’étude de sa charpente a permis de la dater de la fin du 15ème siècle (entre 1476 et 1490). Dans le mur donnant sur la rue, deux arcades d’échoppes aujourd’hui murées témoignent de la fonction commerciale du rez-de-chaussée du bâtiment, tandis que les deux étages étaient dédiés à l’habitation. En effet, la rue de la Pègerie était autrefois la rue commerçante de la ville, dans l’axe du pont médiéval. Elle rassemblait les marchands et les notables de Montignac. La plupart des maisons de cette rue datent du 14ème siècle.
Jeanne d’Albret, fille du roi de Navarre Henri II d’Albret et épouse d’Antoine de Bourbon, a donné naissance au futur roi de France Henri IV le 13 décembre 1553 à Pau.
La « Maison forte d’Albret » ne semble cependant pas avoir de lien avec la famille d’Albret. L’étude de sa charpente a permis de la dater de la fin du 15ème siècle (entre 1476 et 1490). Dans le mur donnant sur la rue, deux arcades d’échoppes aujourd’hui murées témoignent de la fonction commerciale du rez-de-chaussée du bâtiment, tandis que les deux étages étaient dédiés à l’habitation. En effet, la rue de la Pègerie était autrefois la rue commerçante de la ville, dans l’axe du pont médiéval. Elle rassemblait les marchands et les notables de Montignac. La plupart des maisons de cette rue datent du 14ème siècle.
Voici un édifice tout à fait atypique à Montignac : une villa d’inspiration palladienne bâtie au tout début du 19ème siècle. Ecoutez l’histoire de cette construction peu ordinaire.
Vous vous trouvez devant deux des plus anciens bâtiments de Montignac : l’hôpital Saint Jean et sa chapelle, devenue église avant d’être désacralisée. Découvrez ces deux édifices dans cette séquence audio.
Arrêtons-nous à présent quelques instants sur l’histoire de cet ancien couvent fondé au 14ème siècle par l’ordre féminin des Clarisses.
Nous ne pouvons évidemment pas terminer ce parcours à Montignac sans parler de Lascaux. Dans cette interview vidéo, Thierry Félix, premier guide de Lascaux II, nous raconte l’histoire de la découverte, dans ce petit village du Périgord, de la grotte ornée la plus célèbre au monde.
On découvre dans cette séquence comment la conservation de la grotte originale a été mise en péril et quelles solutions ont été trouvées pour redonner au public la possibilité de voir cet ensemble exceptionnel d’œuvres peintes et gravées par nos ancêtres homo sapiens.
